La culture c'est aussi l'art, les arts. Ainsi, plusieurs sculptures ont-elles été crées pour ce lieu il y a vingt ans qui attendent depuis ce temps le moment de le réintègréer. Il s'agit de celles du programme Urbart actuellement sur l'échangeur à l'entrée de Dreux
Un parc c'est aussi un lieu fait pour les grands spectacles musicaux qui rassemblent les foules en été. Imaginez venir vous assoir dans l'herbe de la grande prairie pour un concert de Jazz ou de Rock.
Imaginez aussi que soit aménagé un théâtre de verdure ou soient donné des spectacle de théâtre classiques ou moderne, des formations musicales, de la chanson. Ce lieu est déjà imaginé dans une excavation existante face ua plus beau panorama sur la ville de Dreux.
LA CULTURE
La juste place de L'homme
Les sculptures installées sur l'échangeur de la nationale 12 en direction de Paris, ont été réalisées dans le cadre du programme Urbart. Elles étaient destinées à rejoindre le parc des Bâtes pour lequel les artistes les ont conçues. Elles ont été placées à cet endroit en attente et pourraient être transférées dans le parc lorsque celui-ci sera inauguré.
Un Conservatoire des essences fruitière locales
Encore faut-il que ces fruits et ces légumes ne disparaissent pas prématurément puisque la plupart sont abandonnés par l'agriculture contemporaine. Un Conservatoire d'essences a donc pour vocation de conserver mais aussi de faire connaître et de partager pour répandre à nouveau ces richesses de la diversité. Et quoi de plus merveilleux qu'un jardin qui offre à chacun l'occasion de venir goûter le fruit sur l'arbre comme ces petites merises que cueillent les enfants du quartier au printemps.
Pour en savoir plus sur les fruits anciens et oubliés et les raisons scientifiques et morales de les préserver de la disparition, visiter le site de l'association des croqueurs de pommes ainsi que celui de Laurent Meynier, un photographe de talent qui présente de splendides photographies, comme celle ci-dessus, à croquer sans modération.
Les terroirs, il y a peu de temps encore, entretenaient par l'agriculture traditionnelle une infinie variété d'essences de fruits et de légumes propres à chaque région qui constituaient un formidable réservoir des inventions génétiques développées au cours de l'histoire du vivant. Adaptées à leurs conditions d'existence particulières, ces plantes locales avaient développé des caractères favorisant leur résistance à leurs prédateurs comme à leurs parasites. Ces caractères sont une richesse inestimable pour l'agriculture de demain, celle qui voudra nourrir les hommes sans empoisonner l'environnement.
Tout le monde sait à Dreux que le parc abrite la vigne associative qui depuis plus d'une vingtaine d'années a fait renaître le vin de Dreux. Ce fut en effet la principale activité économique de notre cité jusqu'à la Révolution. Avec les objets trouvés dans les caves et les greniers et confiés par leurs propriétaires, l'association Flora Gallica a créé le Musée des vignerons et des artisans de la région dont tout le monde s'honore aujourd'hui et qui est fréquenté par les touristes qui visitent notre ville. Ce que l'on sait moins, c'est que dans les gènes de Flora Gallica, il y avait aussi, proposé par le Muséum d'histoire naturelle de Chartres, la création d'un Conservatoire des essences fruitières locales, à partir des anciens vergers présents sur le site du parc.
QUI SOMMES-NOUS
Collectif informel de citoyens, conscients de l'importance de conserver pour l'avenir au cœur de la cité des hommes, des espaces naturels préservés,
S'engagent à faire découvrir aux Drouais la valeur du parc des Bâte, la chance qu'il constitue pour la qualité de vie à Dreux
et à convaincre leur Maire de renoncer au projet d'urbanisme en cours.
